Description
Si n’importe laquelle des superbes transcriptions réalisées par Liszt des huit premières symphonies de Beethoven représente une gageure pour le pianiste, celle pour deux pianos de la Neuvième fait aussi bien figure d’enchantement que de test redoutable. Remarquable travail de synthèse, ces pages offrent une architecture où rien n’est laissé au hasard aux pianistes, et où toutes les difficultés du jouer-ensemble se trouvent condensées.