Description
Ses compositions longtemps méconnues sont encore peu enregistrées. Sa musique n’appartient à aucune école, mais son art de la gradiation du son et son goût pour le chant, modèle de déclamation pianistique, le rapprochent de Chopin.
Avec délicatesse et intensité, le pianiste Pascal Amoyel rend ici un vibrant hommage au compositeur, et se révèle transcendant dans la sonate-fleuve Les Quatre Âges, vaste poème « symphonique » qui relate la vie de l’homme du berceau à la tombe.
Un très grand disque qui devrait contribuer à une meilleure connaissance de celui qui reste de plus étrange compositeur romantique français.