BACH // L’Art de la fugue

André Isoir,

275 ans après sa composition, L’Art de la fugue s’impose toujours en modèle d’une écriture à la rare maîtrise.

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Description

L’œuvre émeut encore, et, comme chaque grand classique, fascine à toute époque : à l’origine en raison de la complexité de « ces orgies de contrepoint », cent ans plus tard à cause de la déférence imposée par le modèle, aujourd’hui parce que la perfection totale pressentie reste inaccessible et que l’œuvre éparse demeure ouverte.

Non content de proposer une nouvelle organisation des fugues selon leur structure (le nombre de voix, leur forme, etc.), André Isoir joue en toute spontanéité, comme s’il s’agissait pour lui d’exprimer un plaisir ludique, un pur jeu de l’esprit. Son jeu virtuose, linéaire mais aussi intense, coloré et mystérieux transcende l’opposition entre austérité et séduction.

 
 

  • Contrapunctus BWV 1080-1 2’52
  • Contrapunctus BWV 1080-3 2’40
  • Contrapunctus BWV 1080-2 2’37
  • Contrapunctus BWV 1080-4 4’17
  • Contrapunctus BWV 1080-7 4’26
  • Contrapunctus BWV 1080-5 3’27
  • Contrapunctus BWV 1080-6 4’24
  • Contrapunctus BWV 1080-10 4’38
  • Contrapunctus BWV 1080-9 2’58
  • Contrapunctus BWV 1080-8 5’34
  • Contrapunctus BWV 1080-11 6’25
  • Contrapunctus BWV 1080-12a (avec Pierre Farago) 2’15
  • Contrapunctus BWV 1080-12b (avec Pierre Farago) 2’08
  • Contrapunctus BWV 1080-13a 2’16
  • Contrapunctus BWV 1080-13b 2’21
  • Contrapunctus BWV 1080-19 8’53
  • Contrapunctus BWV 1080-16 4’57
  • Contrapunctus BWV 1080-14 3’56
  • Contrapunctus BWV 1080-15 4’37
  • Contrapunctus BWV 1080-17 2’50

 

« JUBILATOIRE ! » - Diapason

Un résultat « spontanée » d’une exubérance et d’une poésie inouïes. Tout ici n’est que pureté, beauté spirituelle et incarnée

« Quand vous entrez dans une église et que vous voyez ces grands tuyaux de métal luisant dans l’ombre et que vous imaginez un homme seul faisant marcher tout cela, vous avez vraiment envie d’être cet homme-là. Il faut reconnaître que l’orgue est un instrument attachant. »

 

André Isoir, né à Saint-Dizier, fit ses études musicales à l’école César Franck où il fut notamment l’élève d’Édouard Souberbielle pour l’orgue et Germaine Mounier pour le piano. Il entre ensuite au Conservatoire National Supérieur où il obtient, à l’unanimité du jury, le premier prix d’orgue et d’improvisation en 1960 dans la classe de Rolande Falcinelli.

 

Il est ensuite lauréat de plusieurs concours internationaux : à Saint-Albans (Angleterre) où lui est décerné le premier prix en 1965, puis à Haarlem (Hollande) où il est vainqueur trois années consécutives (1966, 67, 68), remportant ainsi le «Prix de Challenge» qu’il est, à ce jour, le seul français à avoir obtenu depuis la fondation de ce concours en 1951.

 

Il a enregistré une soixantaine de disques, ce qui lui a valu d’obtenir 8 grand prix du disque (de 1972 à 1991), ainsi que le prix du Président de la République pour le « Livre d’Or de l’Orgue Français ».

 

André Isoir complète sa culture musicale par une connaissance approfondie de la facture instrumentale ; celle-ci contribuant, selon lui, à une meilleure approche des différents styles, tant au point de vue de la technique, qu’à celui de la registration.

 

Organiste émérite de Saint-Germain-des-Prés à paris et Chevalier des Arts et Lettres ainsi que dans l’ordre national du Mérite, il est également nommé meilleur soliste instrumental de l’année aux deuxièmes victoires de la musique.

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