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1 CD | LDV 45 | durée totale : 65'15 | date de sortie : 26/10/2018

RACHMANINOV // Moments musicaux – MOUSSORGSKI // Tableaux d’une exposition

Jean-Philippe Collard,

15,00 €

Jean-Philippe Collard a toujours aimé Rachmaninov pour l’immédiateté de sa musique : « Elle est proche du cœur, d’une incroyable évidence. C’est probablement parce qu’il avait lui-même envie de se confier à son instrument : il a parlé avec son cœur et son cœur est resté sur le clavier ».

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SKU: LDV 45
Category:Jean-Philippe Collard
Tags:2018, Jean-Philippe Collard, Moussorgski, Piano, Rachmaninov
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Livret
  • Description
  • Liste des pistes
  • Presse
  • Biographie
  • Vidéo

Description

La légende a dressé un portrait terrifiant de Moussorgski, une sorte d’ogre si l’on se réfère au portrait qu’en fit Répine en 1881 ! Dans l’imagerie occidentale, il représente à lui seul le mythe de l’artiste russe génial, mais analphabète et alcoolique. La réalité est bien différente comme le prouvent les chefs-d’œuvre d’inspiration que sont, entre autres, La Nuit sur le mont chauve, Boris Godounov, La Khovantchina et les Tableaux d’une exposition.

Pour tout pianiste, l’interprétation des Tableaux d’une exposition représente un double défi. Le premier est assurément d’ordre technique, mais il n’est pas le plus important. Le deuxième réside dans la si délicate restitution des différentes atmosphères.
S’agit-il des différentes scènes d’un opéra « sans parole » ? Le moindre écart de respiration entre les tableaux, d’illogisme dans la construction peut anéantir la progression dramatique de l’ensemble. La version de Jean-Philippe Collard se démarque par sa fluidité et son naturel merveilleux. Il renouvelle sans cesse son toucher, pensant d’abord les Tableaux d’une exposition… dans leur nature orchestrale. Jamais l’artiste ne cherche à en faire trop, peignant chaque tableau avec imagination mais sobriété, toujours soucieux d’équilibre. Grâce à ce sens de la narration, Baba Yaga et la Grande Porte de Kiev tapent dans le mille. Cette énergie qui déborde rappelle un certain Horowitz avec lequel Jean-Philippe Collard avait noué une belle amitié en ces années cruciales où se forge la maturité artistique.

Composés en 1896, les Six Moments musicaux témoignent du génie mélodiste de Rachmaninov. Dans ces pages, il rend hommage à plusieurs compositeurs du Romantisme dont, en premier lieu, Franz Schubert, auteur d’une série deMoments musicaux. Mélodies slaves, rythmes échevelés, méditations ou souvenirs de la puissance de l’orchestre fusionnent dans ces pièces du compositeur russe, qui évoquent davantage des impressions que des lieux ou des personnages.

Sergueï RACHMANINOV – Six Moments musicaux, op.16

 

  • N°1 en Si bémol mineur – Andantino 7’03
  • N°2 en Mi bémol mineur – Allegretto 3’20
  • N°3 en Si mineur – Andante cantabile 5’18
  • N°4 en Mi mineur – Presto 3’16
  • N°5 en Ré bémol majeur – Adagio sostenuto 4’50
  • N°6 en Do majeur – Maestoso 5’36

 

Modeste MOUSSORGSKI – Tableaux d’une exposition

 

  • Promenade – Allegro giusto, nel modo russico, senza allegrezza, ma poco sostenuto 1’34
  • Gnomus – Sempre vivo 2’35
  • Promenade – Moderato comodo assai e con delicatezza 0’53
  • Il vecchio castello – Andante molto cantabile e con dolore 4’29
  • Promenade – Moderato non tanto, pesamente 0’29
  • Tuileries – Allegretto non troppo, capriccioso 1’01
  • Bydlo – Sempre moderato, pesante 2’21
  • Promenade – Tranquillo 0’47
  • Ballet des poussins dans leur coquille – Scherzino 1’20
  • “Samuel” Goldenberg et “Schmüyle” – Andante. Grave – energico 2’48
  • Promenade – Allegro giusto, nel modo russico, poco sostenuto 1’38
  • Limoges, Le Marché – Allegretto vivo, sempre scherzando 1’31
  • Catacombae (Sepulcrum romanum) – Largo 2’05
  • Cum mortuis in lingua mortua – Andante non troppo, con lamento 2’20
  • La Cabane sur des pattes de poule (Baba-Yaga) – Allegro con brio, feroce 3’50
  • La Grande Porte de Kiev – Allegro alla breve. Maestoso. Con grandezza 6’10

 

« Un récit hypnotique » - Pianiste

Jean-Philippe Collard tire des Tableaux d’une exposition des images vivantes tout en reconnaissant l’émouvante puissance de cette intensité et la beauté viscérale d’une interprétation frappante. Sous un touche compact, débarrassé de toute sentimentalité accessoire, le menaçant Gnomus grogne et les pas écrasants de Bydlo tonnent contre la terre. Nous l’entendons, émus, dans les Moments musicaux de Rachmaninov. Le récit du pianiste est hypnotique et les œuvres scintillent aux couleurs évocatrices. Une virtuosité élégante rayonne dans le 2e et le 4e, la pédale judicieuse rendant cristalline la pluie de notes qui s’écoule comme un ruisseau clair.

« Un coup de cœur » - Les mélomanes

Voici deux œuvres ultra-enregistrées qui exposent les candidats à la postérité à des confrontations périlleuses avec les versions des Horowitz, Engerer, Luganski ou Janis. Jean-Philippe Collard ose relever le défi et pour dire le vrai, à son écoute, tout lui donne raison.

Pianiste à la tête d’une discographie abondante, celui-ci ne cherche pas à refaire le monde ni à s’auto proclamer Champollion de la double-croche. Dans des œuvres qui sollicitent une virtuosité sans faille, une capacité dynamique de chaque instant, une esthétique décantée, un sens très sûr des timbres et des couleurs, une imagination toute en sobriété plutôt qu’un recours à l’effet pittoresque, à une conception envahissante ou prosélyte., Jean-Philippe Collard nous enchante. Sans faire écran à ces deux grandes pages romantiques, il atteint en pleine cible les vertus essentielles de l’interprétation musicale : la simplicité et le naturel.

Voici la démonstration d’un grand maître qui ne joue pas pour convaincre mais pour que chaque auditeur soit libre de faire son chemin en soi.

Jean-Philippe Collard appartient à cette catégorie d’artistes qui se déplacent dans l’espace comme ils jouent : les gestes mesurés effleurent les lumières jusqu’à ce qu’il s’installe devant l’instrument. Le pianiste est venu écouter ceux qui sont venus l’entendre. Sa proposition est celle d’un dialogue sans parole. Juste par le regard puis le son. Une infinité de sons.

Cette connivence si particulière dissimule tout le travail préparatoire d’avant-concert : l’oubli de la nervosité – que les après-midis sont longues avant l’entrée sur scène ! – la domination d’un corps impatient, la canalisation du courage, la maîtrise des ultimes instants avant le saut dans le vide, c’est selon. Il est nécessaire, dit-il, « d’être aspiré par la musique, être apaisé pour retrouver le chemin de la spontanéité et capter le public ». Transmettre et révéler la beauté de la musique dépasse la nature d’une passion : la démarche est de l’ordre de la nécessité vitale pour laquelle il faut se résoudre à partager ses propres émotions, sans désir de conquête en retour. Une offrande, immense, après des centaines de concerts et plus d’une soixantaine d’enregistrements.

« Il faut toucher au cœur et ne pas trop intellectualiser les œuvres labourées depuis des années » affirme aussi l’interprète. Elles composent une prodigieuse récolte, les fruits du romantisme, de Chopin et de Schumann, prolongée jusqu’à Rachmaninov et embellie de deux siècles de musique française.

Tous les mondes sonores de Jean-Philippe Collard sont imprégnés de couleurs, cette « sensation que produit sur l’organe de la vue, la lumière diversement réfléchie par les corps » propose le dictionnaire Littré avec une perception épicurienne inhabituelle dans un tel ouvrage et, pourtant, si familière chez un pianiste qui se dit, précisément, « affamé de couleurs ». Mais pas n’importe lesquelles. Gourmet des pigments, l’artiste sait ce qu’est la nuance en toute chose, lorsque les paysages sonores au tempérament mesuré résonnent dans l’irisation des arpèges et la caudalie des accords. Quand il se remémore son apprentissage auprès de Pierre Sancan, l’amitié de Vladimir Horowitz puis ses rencontres dans le monde entier aux côtés du gotha des chefs et des plus grands orchestres, Jean-Philippe Collard sait qu’il peut tout dire au public. Alors, il a rendu hommage aux dieux des couleurs, ses compositeurs.

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