Un pianiste qui œuvre depuis plus de vingt ans dans l’ombre après avoir fait ses classes à Paris, à Londres, à Berlin et à Moscou. Jean-Baptiste Fonlupt vient de trouver un éditeur, un accordeur, un preneur de son et un directeur artistique, et le résultat est foudroyant, alors que le piano se fait orchestre dans La valse de Ravel, Petrouchkade Stravinski et Roméo et Juliette de Prokofiev. L’imagination de Fonlupt semble illimitée et ses doigts traduisent tout.
Christophe Huss – Le Devoir
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