DEBUSSY // 12 Études

Philippe Bianconi,

Philippe Bianconi offre de ces pages tardives mais essentielles une lecture claire et limpide, servie par une énergie remarquable.

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Description

« DEBUSSY ULTIME »
Philippe Bianconi revient enfin à Debussy après le succès des Préludes en 2012 (Victoires de la Musique, Grand Prix de l’Académie Charles Cros, Diapason d’Or de l’année).
Il offre de ces pages tardives mais essentielles une lecture claire et limpide, servie par une énergie remarquable. Au-delà de leur défi technique redoutable, voire expérimental, les Études — dédiées à Chopin, que Debussy vénérait —, se révèlent sous ses doigts poésie, rythme et couleurs.
En complément de programme, les deux pièces ultimes de son œuvre – Élégie et Les Soirs illuminés par l’ardeur du charbon, ainsi que celles de la suite tirée du Martyre de saint Sébastien, montrent un visage différent de Debussy, spirituel, dépouillé et poignant.

 
 

Douze Études pour le piano

  • Pour les « cinq doigts » – d’après Monsieur Czerny. Sagement 03’17
  • Pour les tierces. Moderato, ma non troppo 03’38
  • Pour les quartes. Andantino con moto 05’06
  • Pour les sixtes. Lento 04’13
  • Pour les octaves. Joyeux et emporté, librement rythmé 02’54
  • Pour les huit doigts. Vivamente, molto leggiero e legato 01’49
  • Pour les degrés chromatiques. Scherzando, animato assai 02’23
  • Pour les agréments. Lento, rubato e leggiero 05’22
  • Pour les notes répétées. Scherzando 03’28
  • Pour les sonorités opposées. Modéré, sans lenteur 05’25
  • Pour les arpèges composés 04’54
  • Pour les accords. Décidé, rythmé, sans lourdeur 04’54
  • Élégie 02’21

Le Martyre de Saint Sébastien – Suite pour piano (Transcription André Caplet)

  • La Cour des Lys – Prélude 03’59
  • Danse extatique 02’57
  • La Chambre magique 03’10
  • La Passion 04’07
  • Le Laurier blessé 02’18
  • Le bon Pasteur 02’37
  • Les Soirs illuminés par l’ardeur du charbon 02’25

PHILIPPE BIANCONI, PIANISSIMO - Le Figaro Magazine

On peut être un homme discret et un musicien hors pair. Avec cette belle sensibilité qu’ont ceux qui ne sont pas dans la démonstration.

RETOUR À DEBUSSY - Le Monde

Philippe Bianconi offre une interprétation intense et pudique des Études.

LA BEAUTÉ LISSSE D'UN MARBRE BLANC - Classica

Philippe Bianconi joue avec un grand soin du détail, soupesant chaque accord, écoutant chaque pédale, dessinant chaque phrase avec un amour que l’on devine immense.

DU GRAND ART - Diapason

Ne laissant rien au hasard, l’interprétation des Études de Debussy par Philippe Bianconi témoigne d’une connaissance approfondie du texte.
« La transparence surnaturelle du jeu de Bianconi se révèle idéale dans La Chambre magique. »

SUPRÊME ABOUTISSEMENT - concertclassic.com

Suprême aboutissement d’une approche qui, par-delà la totale maîtrise technique de ces pages redoutables, sait en dévoiler les richesses, d’une manière aussi singulière que convaincante.

DEBUSSY ULTIME - Artalinna

Philippe Bianconi interprète les Études comme les ultimes manifestations du génie de Debussy, jeu décanté, plein d’interrogations, pratiquant l’ellipse, qui cherche à faire danser les ombres mêmes. Un disque parfait, enserrant le plus secret de l’art de Debussy.

DES ABSTRACTIONS LYRIQUES - Froggy delight

Il y a chez Philippe Bianconi une pertinence du propos, une élégance, beaucoup de musicalité. L’articulation est nette. Il y a une puissance, une intensité dans le jeu, dans la profondeur du clavier, une clarté mélodique, rythmique, harmonique. Très beau !

LE DERNIER DEBUSSY - Artamag’

Sur un somptueux Steinway, Philippe Bianconi fait fi de toute réputation d’aridité des Études : d’une versatilité grisante, tour à tour fantasque et tendre, facétieux et lyrique, il fait éclater un feu d’artifice de couleur tout en rendant justice au caractère formidablement novateur du propos.

MAGISTRAL ET POIGNANT - Scherzo

Philippe Bianconi met tout son art de l’éloquence, tout en pudeur, dans ce nouvel album. Cet adieu de Debussy à la musique conclut magnifiquement un enregistrement où tout est savamment pensé, intimement senti, et poétiquement réalisé.

Pianiste

« L’artiste réitère la réussite avec des Etudes fabuleuses d’intelligence et de liberté, sans une once de sécheresse ou d’intellectualisme. »

Philippe Bianconi : les braises sous l’ivoire

De l’Italie, il tient son nom et la passion enfouie en lui, celle qui le fait vibrer lorsqu’il est sur scène. Celle qui bouleverse son public. L’Italie chante en lui des couleurs de sa langue familière, de son exubérance méditerranéenne où baigna son enfance. Mais c’est à Nice que naît et grandit Philippe Bianconi, c’est la France qui le façonne. Se fond dès lors chez l’artiste comme chez l’homme cet alliage de pondération et dardente passion, de discrétion et de flamme intérieure, paré de cette élégance et de cette luminosité qui se lisent dans sa présence, dans son regard et qui se savourent lorsqu’il est au piano.

Jeune homme, il brûle les étapes, propulsé dans les concours internationaux par Pierre Cochereau dès sa sortie du Conservatoire de Nice. La trajectoire est tracée depuis ce jour où il entre dans la classe de Simone Delbert-Février, élève de Marguerite Long et de Robert Casadesus. « Chante ! », « Écoute ! », ces injonctions de cette femme raffinée, vibrante, animée d’un feu intérieur, il les entend toujours aujourd’hui, et il les prononce à son tour à l’attention des étudiants qu’il forme à l’École Normale de Musique de Paris. Sur son chemin de traverse, il rencontre Gaby Casadesus : il peaufine avec elle la pureté du style, la clarté du propos musical, cultivées depuis les prémices de son apprentissage. Auprès du pianiste russe Vitalij Margulis, il trouve cette densité du son qui lui est unique et puise dans les plis du texte, au creux des harmonies, cette expressivité toujours au service du sens. Coup double ! Premier Prix au Concours Robert Casadesus de Cleveland, puis Deuxième Prix au Concours Van Cliburn, il triomphe au Carnegie Hall, sa carrière américaine est lancée…Puis c’est l’Europe, la France, le monde, en récital ou avec les plus éminents musiciens d’aujourd’hui. Et toujours dans le sillage du couple Casadesus, mais aussi de Nadia Boulanger, le plus naturellement, il succèdera pour cinq années à Philippe Entremont à la direction artistique du Conservatoire américain de Fontainebleau.

Au concert, cette vibration de l’air, lorsque le silence emplit la salle, lui est précieuse, libératrice, inspirante. Il lui arrive d’y relever les défis les plus fous, comme jouer en une soirée les deux concertos de Brahms. Lorsqu’il retourne dans son coin de paradis quelque part au sud entre mer et montagne, il se souvient de ses jeunes années, de ses parents qui l’emmenaient à l’opéra, de cet amour pour la voix très tôt éprouvé et qui ne le quittera jamais. Il se souvient d’Hermann Prey, rencontré à vingt-deux ans, et de Schubert qui les a réunis au disque et huit années durant sur les scènes du monde, le Wigmore Hall, la Scala, Munich, New York… Alors son piano chante, respire, devient chair et âme. Et Chopin, Schumann, Brahms, mais aussi ses chers Français, Debussy et Ravel, dans un sublime abandon, livrent à ce musicien-poète les trésors de leurs confidences.

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