BACH // L’orgue concertant

André Isoir,

André Isoir livre ici l’une des facettes les plus vivantes de son art de la rhétorique et le témoignage d’une imagination libre de toute contrainte.

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20,00 

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Description

Voici sous les doigts d’André Isoir, l’orgue concertant de Jean-Sébastien Bach en trois programmes constitués spécialement à partir de ses enregistrements historiques Calliope pour mêler sinfonias de cantates avec orgue obligé, concertos transcrits d’après Vivaldi et sonates en trio.
La Dolce Volta propose un parti pris original qui cultive à travers trois concerts inédits le plaisir d’écoute renouvelé de pages diversifiées mais d’une grande affinité : la référence au modèle du concerto italien d’une part, et le recours quasi généralisé aux principes de la transcription et de l’arrangement d’autre part. Voici quinze œuvres parmi les plus importantes dédiées par Jean-Sébastien Bach à l’orgue, aussi bien issues du monde du clavier que de celui de l’orchestre ou des cantates, pour souligner l’unité d’une pensée créatrice s’incarnant au-delà d’un medium déterminé.

 
 

CD 1

Concerto en Ré mineur BWV 1052a

 

  • Allegro (1èresinfonia de la cantate BWV 146) 7’17
  • Adagio (référence au 1er chœur de la cantate BWV 146) 5’55
  • Allegro (1ère sinfonia de la cantate BWV 188) 7’49

 

Sonate en trio n° 3 en Ré mineur BWV 527

 

  • Andante 5’24
  • Adagio e dolce 6’39
  • Vivace 3’55

 

Concerto enUtmajeur d’aprèsVivaldi (op. 7 n° 5) BWV594

 

  • Tempo giusto 6’18
  • Recitativ 3’32
  • Allegro 7’53

 

Sonate en trio n° 2 en Ut mineur BWV 526

 

  • Vivace 3’47
  • Largo 4’08
  • Allegro 4’19
CD 2
  • Sinfonia en Ré majeur (cantate BWV 29) 3’34

 

Concerto en Ré mineur BWV 1059a

 

  • Allegro (1ère sinfonia de la cantate BWV 35) 6’03
  • Aria (1er air d’alto de la cantate BWV 35) 8’04
  • Presto (2e sinfonia de la cantate BWV 35) 3’42

 

Sonate en trio n° 4 en Mi mineur BWV 528

 

  • Adagio 2’48
  • Andante 5’28
  • Un poco allegro 2’42

 

Concerto en Sol majeur d’après J.E. de Saxe-Weimar BWV 592

 

  • Tempo giusto 2’53
  • Grave 2’12
  • Presto 1’55

 

Sonate en trio n° 5 en Ut majeur BWV 529

 

  • Allegro 5’13
  • Largo 5’32
  • Allegro 4’12

 

Concerto en La mineur d’après Vivaldi (op. 3 n° 6) BWV 593

 

  • Tempo giusto 3’51
  • Adagio 3’30
  • Allegro 3’26
CD 3

Concerto en Ré mineur d’après Vivaldi (op. 3 n° 11) BWV596

 

  • Tempo giusto 1’35
  • Grave, Fuga 3’12
  • Largo 2’43
  • Finale 2’49

 

Sonate en trio n° 6 en Sol majeur BWV 530

 

  • Vivace 3’55
  • Lento 8’23
  • Allegro 4’01

 

Concerto en Ré majeur BWV 1053a

 

  • Allegro (Sinfonia de la cantate BWV 169) 7’42
  • Siciliano (2e air d’alto de la cantate BWV 169) 5’31
  • Allegro (Sinfonia de la cantate BWV49) 6’38

 

Concerto en Ut majeur d’après J.E. de Saxe-Weimar BWV595

  • Allegro 3’41

 

Sonate en trio n° 1 en Mi bémol majeur BWV 525

 

  • Allegro moderato 3’24
  • Adagio 9’29
  • Allegro 3’36

 

« André Isoir revisite l'œuvre d'orgue de Bach » - Classica

André Isoir pense, joue et construit en organiste, ne se refusant aucune registration pittoresque. L’équilibre est digne des Brandebourgeois. Un moment de grâce absolue qui fait figure de référence !

« André Isoir enchante Bach » - Médiapart

Le printemps se fait-il attendre? Ou bien ressentez-vous du bonheur une certaine plénitude? Quelle que soit votre humeur, André Isoir est là pour vous.
L’organiste est à l’honneur puisque l’enregistrement des sonates, concerti, sinfonia de Bach, qu’il réalisa voici quelques années, reparaissent aujourd’hui. Rien qui vous impose une toute puissance, au contraire: ce ne sont que paysages au mille couleurs de tubulures, conversations de contre-point, chuchotements juste avant le grand jeu. Bach, avec lui, pour vous tous, est un frère en joie de vivre.

« Bach et ses transcriptions pour orgue » - Musikzen

Pour faire un tour d’horizon des nombreuses transcriptions de Bach pour orgue, André Isoir et le label La Dolce Volta ont eu l’idée de regrouper des enregistrements datant de 1979, 1983 et 1993, en excluant toutes les œuvres directement destinées à cer instrument.
Point de chorals, donc, ni de toccatas ou de préludes, mais certaines adaptations extraites du vivier des œuvres du Cantor symphoniques ou pour clavier, et d’autres, du catalogue BWV 592 à 597 (concertos d’après d’autres musiciens – Vivaldi et Johan Ernst de Saxe, en l’occurrence). André Isoir incarne, avec quelques autres, le Bach organiste de nos jours, en interprète et en tant que programmateur, pour en faire saillir les dimensions universelles, au-delà de l’instrument.
Sur trois orgues – eux aussi de référence : Saint-Cyprien en Périgord, Esch-sur-Alzette, Fère-en-Tardenois – seul ou concertant avec Le Parlement de Musique dirigé par Martin Gester, et bénéficiant toujours d’une prise de son impeccable, il nous embarque pour un voyage exceptionnel dans l’univers de Bach, de ses recoins les plus intimes (telle la sonate en trio BWV 529) jusqu’à ses envolées les plus jubilatoires (dès l’ouverture du programme, avec le concerto en ré mineur BWV 1052a, ou le célèbre BWV 593, d’après Vivaldi).
Un coffret lumineux, compagnon de toutes les heures, sombres ou pas.

« Diapason d'or ! » - Diapason

Les trois CD Bach de “L’Orgue concertant” entrelardent les transcriptions d’après Vivaldi et Saxe-Weimar avec les six Sonates en trio, et les sinfonias arrangées en concertos (avec Le Parlement de Musique de Martin Gester).
Premier tome d’une intégrale Bach réagencée et augmentée ?
Pourquoi pas ? mais l’entrechoc des instruments, et de prises de son distantes de quatorze ans, a ses incongruités.

« Quand vous entrez dans une église et que vous voyez ces grands tuyaux de métal luisant dans l’ombre et que vous imaginez un homme seul faisant marcher tout cela, vous avez vraiment envie d’être cet homme-là. Il faut reconnaître que l’orgue est un instrument attachant. »

 

André Isoir, né à Saint-Dizier, fit ses études musicales à l’école César Franck où il fut notamment l’élève d’Édouard Souberbielle pour l’orgue et Germaine Mounier pour le piano. Il entre ensuite au Conservatoire National Supérieur où il obtient, à l’unanimité du jury, le premier prix d’orgue et d’improvisation en 1960 dans la classe de Rolande Falcinelli.

 

Il est ensuite lauréat de plusieurs concours internationaux : à Saint-Albans (Angleterre) où lui est décerné le premier prix en 1965, puis à Haarlem (Hollande) où il est vainqueur trois années consécutives (1966, 67, 68), remportant ainsi le «Prix de Challenge» qu’il est, à ce jour, le seul français à avoir obtenu depuis la fondation de ce concours en 1951.

 

Il a enregistré une soixantaine de disques, ce qui lui a valu d’obtenir 8 grand prix du disque (de 1972 à 1991), ainsi que le prix du Président de la République pour le « Livre d’Or de l’Orgue Français ».

 

André Isoir complète sa culture musicale par une connaissance approfondie de la facture instrumentale ; celle-ci contribuant, selon lui, à une meilleure approche des différents styles, tant au point de vue de la technique, qu’à celui de la registration.

 

Organiste émérite de Saint-Germain-des-Prés à paris et Chevalier des Arts et Lettres ainsi que dans l’ordre national du Mérite, il est également nommé meilleur soliste instrumental de l’année aux deuxièmes victoires de la musique.

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