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9 WILHEM LATCHOUMIA On pénètre ensuite dans l’univers de Tristan avec Pesson, Jaëll et Liszt… W. L. : En effet, En haut du mât de Gérard Pesson ouvre un nouvel horizon après la vaste Fantaisie . Le morceau est complètement inclus dans le déroulement du programme puisqu’il s’agit de la chanson du marin au tout début l’Acte I de Tristan et Isolde . Gérard ne réalise pas une transcription ; il prend l’étrange monodie écrite parWagner et l’harmonise. Cette pièce constitue le début d’un triptyque autour de Tristan . Pour continuer de préparer l’arrivée de la Mort d’Isolde , qui constitue le noyau de mon enregistrement, je passe ensuite à la première des Trois Pièces d’après Tristan et Isolde d’Alfred Jaëll. Une transcription un peu malhabile ; je n’ai pas procédé à des « aménagements » pour autant. Je l’ai abordée en ayant en tête les sonorités de l’orchestre de Tristan , mais en essayant justement de ne pas faire une transcription de l’orchestre. Jeme la réapproprie en la considérant comme uneœuvre pour piano ; jeme permets de faire ressortir certains éléments et pas, oumoins, certains autres.
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